Partager en toute sécurité les photos de bébé sur internet

Si tu es future maman et que tu n’as pas posté ton test de grossesse sur internet, t’as raté ta maternité. Je plaisante, mais… il faut bien reconnaître que les futurs parents, vivant évidemment avec leur temps, passent non seulement beaucoup d’heures sur les réseaux, mais aiment de plus en plus tout partager avec leurs proches via les supports numériques. Mais attention, ces « amis » ne sont pas toujours si… intimes. Certains mêmes pourraient être nuisibles.

Très sensibilisées à cette question et sans vouloir vous inquiéter, au contraire, nous avons souhaité faire un point sur ce phénomène de partage sans fin, mais pas sans conséquence.

Quand bébé a une vie numérique…

Bien que les parents soient plutôt sensibilisés aux questions de protection de la vie privée en ligne, ils sont de plus en plus nombreux à donner à leurs enfants et ce même avant la naissance, une empreinte numérique. Une récente étude réalisée auprès de parents dans le monde et en France l’atteste :

63% des parents français reconnaissent avoir mis en ligne des photos de leur enfant, la plupart ayant été téléchargées avant le 1er anniversaire de l’enfant (68%) et 30% pendant la grossesse.*

82% de parents qui partagent des informations sur les progrès de leurs enfants le font à destination de leurs amis et de leurs familles.*

Évidemment que nous avons envie de partager la plus merveilleuse des nouvelles : notre nouvelle grossesse, puis nos photos d’échographies et enfin, notre tout petit ! Avant il était impossible de la diffuser aussi vite et de manière aussi large. Désormais, il suffit de poster une photo, un statut, un post de forum, un billet de blog pour le faire savoir… à la terre entière. Enfin surtout aux moteurs de recherche. Ces derniers eux ne manquent rien, indexent tout et… pour toujours.

À l’heure où les recruteurs ne rencontrent plus personne sans avoir auparavant « googleliser son nom », il est important de rappeler que tout ce que nous écrivons sur le web, reste sur le web. Bon ou mauvais. Intime compris. On pense aussi aux railleries des petits copains de classe de votre bébé, devenu grand, qui peuvent à l’adolescence être très blessantes quand elles portent sur son physique, son image…

Alors, comment s’y prendre pour partager, par exemple, les belles photos de nos enfants, à notre famille, à nos amis, sans laisser une empreinte quasi indélébile et pouvant devenir gênante pour l’avenir de nos enfants, et sans prendre le risque de voir nos photos piratées, utilisées à des fins absolument illégales ?

Les précautions

• Sur facebook, on vérifie les profils que l’on accepte en « ami » et on configure les paramètres de confidentialité avec attention !
• On évite de poster sur un réseau social une photo de son enfant, juste devant sa maison avec le nom de sa rue inscrite sur la bâtisse voisine en annonçant que l’on part quelques heures à la fête du village.
• On peut aussi demander l’utilisation d’un mot de passe pour accéder à son blog
• On choisit avec attention les photos que l’on va publier : pas de nudité ou de position trop embarrassante pour son bébé, qui, n’oublions pas… va grandir et découvrir avec plus ou moins de critiques son « lui numérique ».
• On sensibilise son entourage : on précise que l’on ne souhaite pas voir une photo de son enfant sur un autre profil.

On a testé le nouveau site familial sécurisé

Nous voilà bien entre l’envie bien naturelle de partager et l’envie (le besoin ?) de se protéger. Nous avons tous les outils à disposition, mais… comment faire au mieux ?! C’est aussi dans cette situation paradoxale que s’est retrouvé Christophe, développeur web à la naissance de son fils. Il décide de créer un site familial sécurisé pour partager les photos avec une trentaine de ses proches. Cela n’a pas loupé : l’idée a plu, un peu, beaucoup même. Tant est si bien que quelques mois plus tard, il lançait, avec sa femme, une version Beta comme on appelle un site « test », de ce qui deviendra très vite : Private Bébé un nouveau concept à destination des familles et futurs parents.

Ouvert à tous depuis décembre dernier, le service propose une alternative sûre et très simple à utiliser, tant pour les parents que pour l’entourage qui visite le site privé familial. Car c’est bien de ça qu’il s’agit. En vous abonnant à ce service, vous devenez propriétaire d’un site sécurisé, accessible par mot de passe, proposant une vraie protection de la vie privée et du droit à l’image. Vous pouvez ainsi mettre en ligne vos albums photo, vos vidéos et autres contenus familiaux personnels.

De nombreuses fonctionnalités permettent de choisir des thèmes graphiques variés, d’en changer en un clic (vraiment ! on a testé) ou de personnaliser son site pour un évènement particulier (fêtes, anniversaire, nouvelle naissance, Noël, etc). Le service est illimité et permet aux parents de gérer facilement les accès privés à leur site de famille depuis une zone parent. Private bébé est évidemment aussi disponible sur mobile et tablette.

Voici les différentes formules d’abonnement :

• 19€/mois sans engagement avec photos illimitées ;
• 39€/mois sans engagement pour photos et vidéos illimitées ;
• un abonnement annuel de 299€/an la première année (soit 25€ par mois – l’abonnement passe à 179€ dès la deuxième année) pour photos et vidéos illimitées.

En résumé, le service Private Bébé dépasse largement les simples partages d’albums Picassa qui ne permettent pas de mettre des vidéos ni de textes (carnet) ; il règle le problème de sécurité : aucun risque de retrouver la photo de son bébé dans les résultats de Google image… L’espace est illimité, contrairement là aussi à des solutions de transfert par email, long, fastidieux et de stockage sur disque dur. Enfin, un détail qui pourrait passer inaperçu pour certains utilisateurs habitués à naviguer sur le web mais qui prend toute son importance quand on pense que les visiteurs de ses mini-sites privés ne sont pas tous des geeks : l’ergonomie du site a été pensé pour eux aussi !

Ici, nous validons à 100% !

* Étude d’AVG Technologies – novembre, décembre 2013 – auprès de 5423 parents dans le Monde et environ 400 parents français

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